Merci encore à nos passionnants intervenants Delphine Renard, Christelle Andre, Hervé Baron et Patrick Kervern, merci pour l’énergie des participants à l’afterwork « Should I stay or should I go » du jeudi 24 novembre.
Les moments qui nous lient, les expériences très diverses et pourtant si parlantes pour tous, ont permis cette rencontre et donné envie de créer encore plus d’interactions, d’écoute et d’instants de libertés dans nos structures.
Trois ingrédients qui nous semblent permettre de répondre de façon éclairée à la question « Should I stay or should I go ?» :
1 – Les départs : une bonne nouvelle.
Chaque départ donne l’opportunité à l’entreprise quittée de réfléchir, d’écouter, de changer, de s’adapter. Delphine Renard précisait, entre autre, qu’une personne « neutre » propose les interviews de départ, ce qui permet une plus grande liberté d’expression.
Et lorsque les salariés partent, ils arrivent aussi ailleurs et cet ailleurs il tient à nous que ce soit chez nous 😉 Travaillons encore et encore sur notre attractivité.
2 – Former, faire grandir, accompagner
Sur ce sujet Richard Branson s’exprime : « Formez vos salariés très bien, comme cela ils pourront partir et traitez-les aussi bien que possible comme cela ils resteront. »
Comme le précisait Hervé Baron en formant en continu et sur tous les domaines, nos salariés s’enrichissent et alimentent leur curiosité tout en apportant un regard neuf à l’entreprise.
3 – Le poisson pourrit par la tête (Erasme)
Les managers ont un rôle central ; les voir prendre du plaisir dans leurs missions, être attentifs et curieux donne l’exemple. Le sens qu’ils savent transmettre autour des missions qu’ils confient aux équipes libère l’adhésion, Christelle Andre nous l’exprime en parlant des équipes de Première Urgence Internationale, où le sens permet le dépassement de soi.
« Un manager fan de ses équipes » comme nous le propose Patrick Kervern est celui à qui l’on parle et avec qui on construit des solutions respectueuses de l’écologie de chacun.
Encore un grand merci à tous pour cet afterwork et belle semaine, fin d’année et au-delà où notre réponse à la question des Clash sera dictée par ce choix : nous sentir vivant.